L’élection d’Andrés, Manuel Lopez Obrador (surnommé AMLO) à la présidence du Mexique fait lever un vent d’espoir jusqu’en Europe.

La gauche mexicaine a réussi à conquérir le pouvoir dans ce grand pays après plus d’un siècle de pouvoir sans partage des partis corrompus, liés aux narcotrafiquants et aux mafias, qui ont aggravé la pauvreté dans un climat de violence inouï.

Le peuple mexicain a également voté en masse contre la fraude électorale et porté à la présidence un homme de 64 ans.

Alors qu’en Europe, on enregistre les succès électoraux des racistes, fascistes et autres libéraux (Orban, Kurz, Salvini, par exemple), on assiste parallèlement aux victoires d’Obrador et aux progrès de Sanders (aux Etats-Unis) et Corbyn (au Royaume-Uni). L’Espagne et le Portugal semblent vouloir s’orienter vers des régimes plus soucieux d’harmonie sociale aussi

Le vent nouveau n’est pas nécessairement celui des fringants quadragénaires comme Macron ou Salvini. Il est celui qui pousse vers plus d’égalité, moins de pauvreté, moins de richesse insolente, moins de chômage,…

Le nouvel élu de Mexico ne veut pas habiter le palais présidentiel, parle de vendre l’avion qui lui est réservé et il fait des déclarations encourageantes pour la démocratie et la transparence de la vie politique. Tout le contraire de Macron !

L’espoir peut encore se trouver dans les urnes, comme vient de nous le rappeler le nouveau président Obrador du Mexique. Merci.