Aujourd’hui, un certain nombre d’apprentis sorciers entraînent leurs opinions publiques dans une spirale belliciste, notamment au Moyen-Orient. Ils se réclament parfois de la démocratie (comme Trump ou Netannyahou), parfois de régimes autoritaires (comme Poutine), souvent de dictatures (comme Erdogan ou Assad), voire de théocratie (comme Ben Slamane) ; aucun d’entre eux ne peut prétendre être vraiment honnête et soucieux des droits humanitaires.
Or, on sait que « La première victime d’une guerre, c’est toujours la vérité »,selon Rudyard Kipling. Depuis la Guerre du Golfe ou les prétendues armes de destruction massive de Saddam Hussein, on sait combien ces maniaques de la force armée sont prêts à toutes les manipulations pour justifier leurs interventions en n’importe quel point du globe.
Si la première victime d’une guerre, c’est la vérité, les peuples, eux, souffrent et sont décimés, plongés dans la misère absolue.
On l’a vu en Irak, en Libye ou en Afghanistan, la guerre ne règle aucun des conflits. Le choix des armes n’est jamais la solution.
Il est navrant de constater que le président de la République française s’est rangé sous la bannière de Trump et consorts et s’est livré aux bombardements en Syrie, en toute illégalité.
Le peuple syrien a suffisamment souffert pour ne pas se voir infliger de nouvelles souffrances, apportées sous les ailes d’avions de combat français. La vraie France ne peut apporter sa caution aux aventures guerrières d’Emmanuel Macron. Nous disons : « Stop à la guerre. Stop aux mensonges ».
Les citoyens et leurs représentants élus doivent avoir accès à toutes les informations indépendantes avant toute aventure guerrière. Aucune personne sensée ne peut accorder une quelconque confiance à un Donald Trump qui ment en permanence.
Un trait définitif a été tiré sur la diplomatie indépendante de la France.